Mozart enchanté La clarinette et la voix

À propos du concert

Wolfgang Amadeus Mozart,

Les Noces de Figaro, ouverture
« Alma grande e nobil core », air de concert (K. 578)
« Chi sa, chi sa, qual sia », air de concert (K. 582)
« In quali eccessi, o Numi… » (Don Giovanni, Donna Elvira)
Symphonie n° 36 en ut majeur, dite « Linz », presto (K. 425)
Concerto pour clarinette en la majeur, adagio (K. 622)
« Como scoglio » (Cosi fan tutte, Fiordiligi)
« Une donna a quindici anni » (Cosi fan tutte, Despina)
Don Giovanni, ouverture
« Parto, ma tu ben mio… » (La Clémence de Titus, Sesto)
« Non più di fiori… » (La Clémence de Titus, air de Vitellia)
Avec récitatif « Ecco il punto »

Mozart a toujours entretenu un dialogue intime entre la voix et les instruments à vent. La clarinette, qu’il adorait, occupe une place toute particulière dans cette alchimie musicale, colorant ses mélodies d’une expressivité tour à tour tendre, mélancolique ou malicieuse. Portés par l’écrin de l’Orchestre national Avignon-Provence, sous la conduite inspirée de Débora Waldman, le timbre somptueux de Karine Deshayes et la virtuosité de Pierre Génisson s’entrelacent en un duo enchanté où la voix et la clarinette s’unissent pour célébrer le génie de Mozart.